N’étant jamais allé en Italie, je ne peux que partager ici les souvenirs de mon beau-frère et de ma belle-soeur, Bernard et Francine St-Denis, qui ont eu le bonheur d’y effectuer un voyage cet automne 2014. Le texte qui suit est le compte-rendu qu’ils ont écrit ensemble. Voici leur premier extrait portant sur leur arrêt à l’île de Malte, un retour en arrière au temps des chevaliers.
par Bernard et Francine St-Denis
Pendant notre voyage en Italie, nous avons visité les deux villes les plus importantes de l’île de Malte : Mdina, l’ancienne capitale, et La Valette, la capitale actuelle. Ce fut un intéressant retour dans le temps à l’époque médiévale.
À La Valette, nous avons foulé les jardins supérieurs de Barraca, d’où nous avions une vue panoramique extraordinaire des ports naturels de Malte et des villes historiques de Senglea, Cospicua et Vittoriosa. Nous avons continué à marcher jusqu’à la cathédrale Saint-Jean : l’église conventuelle des chevaliers de l’Ordre de Malte, qui abrite la célèbre peinture de la décapitation de saint Jean du peintre Caravage.
De là, avons visité le musée du palais des Grands Maîtres de l’Ordre, pour admirer des armures et des tapisseries exceptionnelles.
En suivant une route très panoramique, nous nous sommes rendus à Mdina : ville historique, ville-musée et ancienne capitale. Mdina enferme dans ses rues étroites une vie mystérieuse, que semblent protéger ses églises, ses palais et ses couvents. Les Maltais la surnomment « la cité du silence », en raison de la quiétude du lieu.
Et nous terminons notre journée à la cathédrale Saints-Pierre-et-Saint-Paul, construite entre 1697 et 1702. Comment décrire autant de splendeur ? Les mots nous manquent ! Résumons que l’île de Malte est stratégiquement bien située entre le continent africain et l’Europe. Les Croisés et la noblesse des différents pays du monde y ont laissé des trésors extraordinaires.
A noter que la résistance exemplaire des Maltais fut reconnue par tous les pays occidentaux lors de la dernière Guerre mondiale.