Denise GAGNÉ remercie tous ceux et celles qui ont assisté aux funérailles d’Alphonse Lacasse en août 2015 et offre ses vœux de Noël. D’autres confrères aussi offrent les leurs.

DENISE GAGNÉ : Au nom d’Alphonse !

À tous les confrères d’Alphonse LACASSE et à leurs conjointes,

Vous avez assisté nombreux aux funérailles d’Alphonse, le 8 août 2015. Avec ma famille, je vous en remercie de tout coeur. Au fond, je crois qu’Alphonse a été ravi de voir autant de confrères et de conjointes réunis pour lui. Un égal merci s’adresse à ceux nombreux aussi qui nous ont offert leurs condoléances. Et je réserve un merci tout spécial aux concélébrants Yvon Pomerleau et Léonce Gosselin ainsi qu’à Yvon Marcoux qui a pris la parole. Je vais bien. Alphonse est décédé le 27 juillet 2015.

Je profite de l’occasion pour souhaiter à toutes et tous un joyeux Noël, un heureux temps des Fêtes, de la santé, et une année 2016 remplie de surprises magnifiques. Puissions-nous rester longtemps unis ! Bravo, Germain, d’avoir ouvert ce petit coin sympathique.

Denise Gagné

Voir autre article « Hommage à Alphonse Lacasse », sur ce site germaindion.com, à Varia ou Blog.

AUTRES VOEUX DE NOÊL DE CONFRÈRES

 

En cette période des Fêtes, que la joie, la paix, le partage, l’espérance et l’amour marquent vos retrouvailles familiales et vos rencontres entre amis. Ayons une pensée pour nos proches qui nous ont quittés et apportons réconfort à celles et ceux qui vivent la solitude. Que 2016 vous comble par la réalisation de vos vœux les plus chers et  puissions-nous nous retrouver ensemble pour célébrer notre amitié de plusieurs années. Joyeux Noel et Bonne Année !

Yvon Marcoux

 

Vienne la clarté de ton aurore !

Que ton étoile, Seigneur, brille aujourd’hui
Sur tous les peuples de la terre
Qui cherchent un guide dans la nuit
Et la clarté de ton aurore espèrent !

Yvon Pomerleau, o.p.

Il était trois grands rois jadis
Qu’une étoile du Paradis
Un soir mena jusqu’au lieu-dit
Où le Seigneur était petit.

Lors, tout riant le petit Dieu                                     
De les voir si beaux, si pieux
Leur fourra son doigt dans les yeux
Et tira la barbe au plus vieux.                      

Et le vieux roi barbu, savant,                                                              
Et grave, et triste bien souvent
D’avoir souffert à tous les vents,
Aussitôt redevint enfant.

Veuille, ô Jésus, nous qu’ont raidis
Le temps passé, les ans partis,
Comme lui nous garder petits
Jusqu’aux portes du Paradis. Amen !

 

À tous les collègues de Robert (ROUTHIER, mon mari) et leurs conjointes,

Puissiez-vous jouir de bonheur à l’occasion de cette Période des Fêtes.  Que l’An 2016 vous comble de SANTÉ, d’AMOUR et de PAIX.  Profitez bien de tous ces précieux moments pour partager avec tous les vôtres.

Pour ma part, l’An 2015 s’est bien déroulé. Vivre sans mon chéri est bien différent, c’est tout un défi.  Tous les bons souvenirs de ma vie avec Robert [ROUTHIER] m’aident à aller de l’avant. Je suis bien entourée par mes enfants, la parenté et les ami-e-s. Ma santé est bonne, sauf que mes jambes, depuis 4 mois, me jouent des tours. Profitez de tous les instants que la vie vous offre et passez de merveilleuses Fêtes. Câlins,

MURIELLE COUTURE

La sérénité et la paix

Je souhaite un Noël merveilleux et que 2016 soit le plus possible remplie de joie, de santé, de paix, de grands et menus plaisirs et d’amour ! Et, qui sait, que nous puissions peut-être nous rencontrer…? ≈ Germain Dion

Un Joyeux Noël et une bonne et heureuse année 2016.

Yvan et Madeleine Roy, Québec

 

…Renouer avec la « gang » du Collège !

Bonjour Germain,

Je veux d’abord te remercier pour tes bons Vœux de Noël et du Nouvel An.  J’ai fait le tour de ton site et je tiens à te féliciter pour le travail colossal qu’il contient. J’ai l’impression de renouer avec la « gang » du Collège en te lisant…Étant né à St-Anselme, je brûle de retourner à Honfleur d’une façon ou d’une autre en revisitant ma sœur qui habite à Ste-Claire. Mes meilleurs Vœux pour l’An 2016 et salutations à tous et à toutes ! — Roland Brochu [Courriel reçu le 14 décembre]

 

À Roger Gagnon, 1939-2009, un immense merci !

Roger, mon ami (notre ami),

Je me sens privilégié de pouvoir, au nom de tous tes confrères encore vivants, finissants 1960 du Collège de Lévis, te dire que le souvenir de ta présence parmi nous en ces années de collège est toujours bien vivant dans nos mémoires

Nous nous rappelons combien tu aimais la vie avec une  soif de découvrir qui te rendait curieux, imaginatif, à l’affût des nouveautés et parfois du mystérieux. Tous se souviennent des séances de télépathie que toi et Yvan Dallaire transformiez en spectacles et dont vous avez toujours gardé secrets le ou les codes avec lesquels vous communiquiez.

J’ai été de ceux qui ont eu la chance de te côtoyer de plus près. Nous avons été compagnons de bureau en classes de Philo 1 et 2.  J’ai pu constater quotidiennement à quel point tu étais respectueux des personnes, discret et toujours prêt à rendre service.

Plus tard, avec l’arrivée du courriel électronique, nous avons profité de tes talents de rassembleur. Tu as communiqué avec nous durant plusieurs années à l’aide d’une première liste d’adresses informatisée que tu avais créée et que nous utilisons encore aujourd’hui.

Nous voulons te dire merci pour ce que tu as été durant toutes ces années et exprimer à Catherine toute notre estime.

Guy Lapierre
7 octobre 2015

Le hockey… version Pierre Dubuc,1957

Pierre DUBUC                 15 février 1957, Belles-Lettres « B »

Notre sport national fait d’année en année
Une grande envergure très souvent mentionnée.
Qui, dans notre pays, ne connaît pas ce jeu
Ou du moins, par hasard, n’a vu jouer un peu.

C’est à un Canadien, à la dix-huitième ère,
Que d’ailleurs échoua cette idée première :
Fabriquer des lames afin de les souder
Dessous ses chaussures était pas mal penser.

Comme tout(s) bons débuts ont souvent dans la suite
Des succès envieux et de la gloire ensuite,
De même le hockey a commencé si bien
Qu’il eût prospérité, et ça en moins de rien.

Il se joua longtemps sur nos lacs et rivières,
Sans qu’on y remédiât de quelques manières.
La surface glacée, par des froids rigoureux,
Recevait cependant, belles et amoureux.

Voilà qu’apparaissent nos vraies patinoires
Qui, l’hiver, font l’objet de plusieurs histoires.
Et enfin pour combattre et lutter le grand froid
La science moderne les abrita d’un toit.

Notre sport national, chère de la jeunesse,
Joyeuse et vivante, stimule la paresse*.
Estimons et aimons notre plus beau loisir
Avant que les années ne viennent s’en saisir.

Pierre DUBUC commente aujourd’hui : « L’abbé Jean-Charles Blouin a lu mon poème en classe. Il m’a donné une excellente note de 20,1 sur 25. Mais je me demande, encore aujourd’hui, ce que pouvait bien vouloir dire son dixième de point… »

La photo : « Pierre Dubuc de Boucherville » signe-t-il d’habitude, coiffé d’un chapeau que lui a rapporté son fils du Mexique.

Objectif dépassé pour Marcel

Marcel Routhier, de Saint-Lambert, a dépassé son objectif de 75 parties de golf en 2015. Il en a disputé 82. « Je ne frappe plus aussi fort qu’avant, dit-il. Mon drive est de 150 verges alors qu’autrefois j’atteignais 225 verges. » Il joue dans les 100; le par, à son club, est de 72. Mais quand même enviable, non…?

Nos vedettes du sport de jadis

Ces photos sont tirées de notre Album des finissants ’59-60. « Que de bons souvenirs ! »,commente Yvon Marcoux.

À l’avant, de gauche à droite, Raoul Huppé, Yvon Audet, Jean-Marie Savoir et Narcisse Proulx. À l’arrière, Gilles Brassard, Robert Routhier, Guy Lapierre, Jean-Léon Carette et Gérard Quintin.

Photo prise par Pierre Dubuc avec sa tablette à partir de l’Album sur la table d’un restaurant St-Hubert de Laval.

 

Partie disputée entre notre classe et l’École Apostolique. De gauche à droite, à l’avant, Raoul Huppé, Narcisse Proulx, Robert Routhier, Yvon Audet et Alphonse Lacasse. À l’arrière, Jean-Marie Angers, pilote, Marcel Routhier, Yvon Marcoux, Pierre Dubuc, Guy Lapierre, Jean-Léon Carette et André Gourde. Photo reproduite par Juteau-Ruel inc.

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COPIER-COLLER DE COURRIELS REÇUS OU ENVOYÉS

(Le 13 octobre 2015)

Guy,
Merci pour ce bel hommage à notre confrère Roger. Cela nous rappelle d’excellents souvenirs.
Et merci à toi Germain de d’initier cette chronique sur les Anciens Rhéto 57-58 et finissants 1960. On reconnait tes talents de journaliste et d’auteur. Bonne soirée.
Yvon Marcoux

(Le 10 octobre 2015)

 

Le 30 septembre, j’ai téléphoné à M. François Bilodeau, responsable des relations avec les Anciens  au Collège (418-833-1249, poste 115). Il n’a pu me donner les dates de décès de : Guy Carrier, Claude Chouinard et Robert Lamonde, parce qu’il ne les a pas. Ils sont disparus avant le système informatique; ou le Collège a perdu leur trace après.

Nous avons retrouvé la date de décès de Marc-André Cantin : 1995.

Sent: Thursday, October 01, 2015 8:46 PM

Bonsoir, En révisant mes anciens Écho du Collège, j’en ai trouvé un autre,
soit Marc-Andre Cantin, décédé en 1995, 54 ans. A la prochaine,

Pierre Dubuc de Boucherville              Correction faite, Pierre. – Germain

(Le 1er oct. 2015) Bonjour Germain,
Tu as raison de regrouper les confrères parmi les pensionnaires et les externes. Cependant, aux yeux des pensionnaires du Collège, les externes formaient un groupe homogène. En réalité, ils constituaient trois sous-groupes: les uns fréquentaient le Collège tout en étant pensionnaires à l’École Apostolique (Jean-Noël Jobin et Maurice Mathieu jusqu’en 1960, Laval Bolduc, Fernand Busque et al … jusqu’en Rhéto); le deuxième groupe était composé de confrères pensionnaires au Patronage de Lévis (Gérard-Raymond Carrier, Roland Brochu, Roger Goulet, Guy Lemay jusqu’en 1960 et les autres comme Jean Deschênes, Bernard Lafrance, Armand Nadeau et Yvan Roy jusqu’en Rhéto); les externes du  troisième groupe (les vrais) demeuraient à Lévis pour la plupart (Jean-Guy Bernard, Robert Carrier, Claude Chouinard, Marc-André Cantin, Yvan Dallaire, Jean Émond, Roger Gagnon, Yves-Guy Roy, Marc Filteau, Robert Lamonde, Marcel Aubert).

Même si j’avais amorcé ma première année de Philo, j’ai dû quitter mes confrères en novembre 1958 pour l’Externat Classique St-Jean-Eudes au moment où mes parents déménageaient de St-Gervais à Québec.
Comme tu le dis si bien, certains confrères nous étaient moins familiers parce que nous n’étions pas dans la même classe.
Merci pour ton support informatique. C’est fort utile. — Yvan Roy