Cabochon, un sacré original.

Il a vendu de l’alcool de contrebande toute sa vie. Il pouvait tenir tête à tout le monde. Dans mon village québécois des Chaudière-Appalaches, Eugène Audet Cabochon-postétait surtout connu sous son surnom de « Cabochon ».

2014, 193 pages

En librairie : 21,95 $ + taxes = 23,05 $

Achat direct de l’auteur : 20 $, TPS et frais de poste compris, par entente avec l’éditeur La Plume d’Oie de Montmagny.

Défilent la vie rurale d’autrefois et les nombreux événements politiques qui ont marqué sa très longue vie. Il est décédé à 92 ans le 1er mai 1980, à trois semaines du premier référendum québécois sur l’indépendance.

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Dans la photo du haut ; prise lors du lancement, à Honfleur, en juin 2014, apparaissent de gauche à droite Clément Bernier, Aline Bernier-Asselin et moi.

Ci-dessous une critique du livre par Lysette Brochu, auteure et amie de Gatineau en Outaouais.

De Lysette BROCHU,
10 octobre 2015

Lysette Brochu 2, 2015
« Cher Germain, Lecture de détente, légère et amusante. Plusieurs anecdotes comiques. Toute une époque.

« Très indépendant, très fonceur, Eugène Audet ne s’en laissait pas imposé. Tu ne perds pas ton sujet, et ce portrait d’un homme « pas comme les autres » reste avec nous, même après la lecture.

« C’est comme rien, il a dû souffrir de solitude par bouts. Ses séjours en prison devenaient de vraies vacances. Il pouvait jaser, jouer aux cartes, manigancer d’autres méfaits ou aventures. Il n’était pas le seul à l’époque, qui fabriquait de la boisson frelatée. Mais sous le nez des paroissiens et de la police, hum ! il avait du culot. Franchement, tu as même réussi à nous le rendre sympathique par moments.

« À l’époque où la parole du curé était sacrée, il a fait preuve de bravoure. Le curé pouvait voir ça comme de l’effronterie, mais il marchait au « son de son propre tambour », to the beat of his own drum.

« Avec Cabochon, tu as mis Honfleur, comté de Bellechasse, sur la mappe ! »